Le blog des koupains !

"le blog des koupains c'est comme un pénalty de Zidane ça se rate pas....ou alors pas de beaucoup"

7/22/2007

Un Mexicain record Guinness de l'homme le plus gros du monde avec 560 kg


Un Mexicain de 41 ans apparaîtra dans le livre Guinness des records 2008 comme l'homme le plus gros du monde, avec un poids de 560 kg, et pourrait également détenir dans l'édition suivante celui de la perte de poids la plus importante: plus de 200 kg.

Manuel Uribe a confié qu'il avait reçu un certificat de Guinness à son domicile de Monterrey (nord du Mexique). "Ca y est on me l'a donné, je l'ai entre mes mains (...) Je suis heureux d'être dans le Guinness comme l'homme le plus obèse du monde et je suis heureux car j'ai perdu plus de 200 kg", a-t-il dit à l'AFP.

En 2006, il avait demandé une aide médicale pour ne pas succomber à son obésité, maladie dont il souffre depuis 20 ans. En un an, il a perdu plus d'un tiers de son poids, grâce à un régime strict et un traitement médical personnalisé.

Manuel Uribe n'est pas capable de marcher et vit reclus dans sa maison, où sa mère veille sur lui. Jusqu'à l'âge de 22 ans, il travaillait aux Etats-Unis et pesait alors 130 kg pour 1 m 94.

Au Mexique, près de la moitié de la population souffre d'obésité ou de surpoids. Le Mexique se situe en deuxième position au classement mondial derrière les Etats-Unis, selon le ministère mexicain de la Santé.

Brasil façil...

Je pense que tous le monde a vu le match mais bon dans le doute voila ce qu'en dise sofoot... pour ma part connaissant mon attachement à la sélection de l'argentine, je ne peux être objectif mais bon c'est quand même dommage qu'il ne gagne jamais rien en étant à mes yeux la meilleure équipe du monde !
Le complexe argentin a encore frappé. Magnifique durant tout le tournoi, l’Albiceleste s’est, comme d’habitude, liquéfiée face au Brésil, pour perdre 3-0 en finale. Et c’était l’équipe B du Brésil...

Encore et toujours la même histoire. 11 argentins jouent un football de rêve, rivalisent d’ouvertures magnifiques, marquent des buts splendides, enchaînent les victoires. Les voici en finale de la Copa America contre le Brésil, ce vieil ennemi imbattable. Dès le coup d’envoi, les complexes reviennent. Les passes dans les pieds finissent en touche, les tacles cisaillent le vide, et ce Riquelme qui porte sa croix comme jamais. Dans les premières minutes, l’équipe B de la seleçao tente une attaque, pour voir. File le ballon à Baptista, un joueur qui n’a de brésilien que le passeport. Personne ne monte, le mec affûte sa frappe, met une lucarne. Derrière, Riquelme touche le poteau, puis Ayala, objectivement le meilleur défenseur du monde, dévie un centre voué à l’échec dans ses propres filets. Il reste plus d’une mi-temps à jouer, et la planète entière le sait déjà : l’Argentine a encore perdu le match qu’il fallait gagner. Au final, cela forme un genre d’identité. L’Argentine est ce pays de perdants nés. Cela a son charme.

Et le Brésil ? Bah, c’est l’inverse. Une vraie terre de winners. L’Argentine a la crise économique, les grandes villes aux boulevards à quatre voies. Le Brésil a Copacabana, une mystique qui fait mouiller tout le monde, une réussite insolente. L’Argentine a Alfio Basile, un entraîneur qui sent les séances de psychanalyse répétées, le cholestérol, l’intellect, le fric sale. Le Brésil a Dunga, un coach habillé en surfer. Quoiqu’il arrive, ça passe. Même défensive, même dégueulasse, la seleçao s’est sans sourciller mise, durant cette Copa America, à défendre à 6 derrière. A relégué le fantasque Diego au banc de touche. Son unique joueur de ballon était Robinho, soit plus ou moins ce que le Brésil fait de pire : un joueur avec nez rouge, qui préfère dribbler plutôt que passer la balle. L’équipe a galéré, enchaîné les contre-performances, et s’impose 3-0 en finale, avec deux buts superbes. Pendant ce temps là, Messi, le magnifique Messi, n’arrive même plus à passer un dribble. En ces temps de Tour de France, c’est l’image de Lance Armstrong qui vient à l’esprit. A force de se présenter en victime expiatoire, l’Argentine, sorte de Jan Ullrich du ballon rond, n’en finit pas de remettre le Brésil en selle. Les années ont beau passer, le maté a toujours ce sale goût de fatalité.

YouTube - Max Boublil - Ce soir...

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